Votre famille mérite toujours la meilleure protection. Aussi, en cas de coup dur, vous ne voudriez pas la voir aux prises avec des problèmes financiers.
Partant de là :
Comment faire pour éviter que vos proches ne se retrouvent pas dans la difficulté pour assumer les dépenses prévues et imprévues à votre décès ? Et aussi, comment éviter qu’ils aient à puiser dans leur propre épargne pour devoir acquitter des droits de succession (élevés) ?
En souscrivant une assurance décès, vous leur assurerez confort et tranquillité d’esprit, de quoi permettre d’adoucir quelque peu leur souffrance émotionnelle.
Quelle est l’utilité d’une assurance décès ?
Une assurance décès peut se révéler utile dans plusieurs cas de figure.
Si vous savez que vos héritiers vont devoir acquitter des droits de succession élevés, cette assurance est l’instrument idéal pour y remédier. À plus forte raison si vous n’avez pas encore établi de planification successorale.
Cela étant, même si vous vous êtes montré assez prévoyant en planifiant votre succession, une assurance décès (temporaire) est toujours la bienvenue. D’autant plus si vous avez procédé à une donation non enregistrée, puisque si vous décédez dans la période fixée par la loi, vos proches devront malgré tout payer des droits sur cette donation. Ce risque, vous pouvez vous en prémunir grâce à une assurance décès temporaire.
D’autre part, si vous êtes la source principale de revenus dans le ménage et que vous souhaitez permettre à votre conjoint et vos enfants de mener le même train de vie, l’assurance décès constitue là encore la solution idéale.
Pour résumer, l’assurance décès offrira un filet de sécurité financier solide à votre conjoint et à vos enfants si vous veniez à décéder.
Quels sont les différents types d’assurances décès ?
La règle générale est que, à votre décès, l’assureur versera un capital établi à l’avance à vos bénéficiaires. Ce capital peut prendre la forme d’une grosse somme d’argent, mais aussi celle d’une rente (et donc d’un montant que l’assureur versera à intervalles réguliers).
Il existe trois types d’assurance décès :
- L’assurance décès temporaire
Cette assurance est souvent choisie lorsque l’on souhaite compenser la perte de revenus liée au décès du principal soutien du ménage. Au décès de l’assuré, l’assureur verse un capital décès avant l’expiration d’une période établie à l’avance (p. ex. 15 ou 20 ans).
- Assurance décès vie entière
Dans le cas d’une assurance décès vie entière, le capital assuré est toujours versé. Au décès de l’assuré, l’assureur verse le capital. Ces polices d’assurance ont souvent la forme d’une assurance obsèques. La police sert alors à payer les droits de succession ou à financer les obsèques.
- L’assurance solde restant dû
Il s’agit sans doute de l’assurance décès la plus connue. Dans le cadre d’un prêt hypothécaire, les emprunteurs souscrivent souvent une assurance solde restant dû, bien que celle-ci ne soit pas obligatoire. Néanmoins, les prêteurs (les banques ou les autres institutions de crédit) demandent généralement d’en souscrire une. Si l’assuré décède avant l’échéance du crédit, le solde restant dû du crédit (ou une partie de celui-ci) est remboursé.
Quels sont les principaux risques qu’une assurance décès ne couvre pas ?
Le décès de l’assuré n’est jamais couvert dans les situations suivantes :
- en cas de suicide, dans l’année qui suit l’entrée en vigueur du contrat ;
- lorsque le décès a été causé par un acte intentionnel ou a été incité par l’un des bénéficiaires ;
- lorsque le décès est consécutif à un fait de guerre (civile).
Il existe cependant encore d’autres exclusions, de sorte qu’il est toujours très important de lire les conditions générales et la fiche d’information avant de souscrire une assurance décès.
Envie d’en savoir plus ?
Si vous souhaitez en savoir plus sur les avantages de l’assurance décès pour vous-même et vos proches, consultez notre site web ou prenez rendez-vous avec votre conseiller ING.